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Les éditions ARTEFIZ

sont heureuses de vous faire part de

de leur nouvelle publication : un Beau Livre, comme on dit.

 

Imaginé et développé par Joëlle Naïm,

préfacé par Bernard NOËL

 

avec la participation de plus d'une centaine d'artistes, d'écrivains, de poètes, de calligraphes, dont : Georges Didi-Huberman, Hans Bouman, André S. Labarthe, Margalit Berriet, Hubert Haddad, Boualem Sansal, Joëlle Bordet, Malie Létrange, Billie Zur, Boris Lehman, Eliahu Dallal, Anne-Juliette Malotaux, Riccardo Garbetta, Suleiman Mansour, Gérard Duchêne, Sophie Boursat, Marc Delouze, Mireille Désidéri,, Avraham Eilat, Abdul Kader El Janabi, Anne Rothschild, Rami Saari…

 

 

 

NAPPES-MONDES est une formidable aventure artistique et humaine qui revendique haut et fort la suprématie de l’échange, de l’écoute et de la compréhension interculturelle... 

...réunissant sur une dizaine d'années, une centaine d'artistes, poètes, écrivains, dans le monde... des femmes et des hommes de bonne volonté, proches ou inconnus, amis ou ennemis... pour créer / communiquer / échanger et donner à voir au travers d'une nappe de bistrot ce qu'il y a certainement de plus beau, de plus sincère et certainement de plus mystérieux à toute relation humaine...

 

 

Et si au départ, le projet de J. Naïm « ne reposait » que sur de fragiles nappes en papier, bien vite, l’idée et l’envie d’en faire un livre « mémoire » s’est vite imposée.

« La nappe de bistro, ce fragile carré de papier est devenu le support de mon côté entremetteuse nomade, de mon fantasme d’ubiquité, de mes rêves d’échanges, de paix et de création », écrit-elle. Et elle poursuit : dans un bistro parisien, l’artiste algérien peut rencontrer la poétesse de Tel Aviv, l’écrivain né à Cuba présenter son ile à la peintre née en Tunisie, le Palestinien de St Jean d’Acre raconter ses souvenirs douloureux à l’italienne juive qui connaît très bien Ramallah, Gaza …

 

Il lui aura fallu beaucoup d’énergie et une impressionnante ténacité pour que NAPPES-MONDES voit le jour et que ces nappes-témoignages prennent ainsi un nouvel envol, vers le plus grand nombre...

 

 

 

 

Bernard Noël (extrait de la préface) :

Ce qui frappe d’emblée devant l’ensemble, c’est la vivacité des formes et la justesse des associations.
Pour les écritures, il faut évidemment prendre le temps de lire avant de remarquer que l’invention poétique est là tout aussi consistante et la pensée rapide ou saisissante.
L’imbrication du texte épouse le mouvement de chaque nappe et, souvent, le fortifie.
Telle est l’impression du premier regard, celui que l’on aurait devant une exposition des nappes. Ensuite, et cela procède autant de la vision que de la lecture, on se rend compte qu’il y a là une somme de rencontres dont la réussite n’est pas uniquement esthétique.

 

 

NAPPES-MONDES est la mémoire de ces voyages imaginaires et réels, au gré de quelque deux cents pages, 120 participants, 70 nappes, 110 illust. coul., 120 textes où se côtoient 9 langues : le français, l’anglais, l’arabe, l’hébreu, l’espagnol, l’italien, l’allemand, le japonais et, last but not least, l’utessien, une langue parlée par un seul locuteur au monde.

 

 

Joëlle Naïm : "Je suis née en Tunisie (1953) et j’en ai gardé les couleurs. Le voyage, vers l’ailleurs et vers l'autre, est essentiel à ma vie et à ma pratique. A travers l'écriture et l'art, je cherche à confronter la fragilité, l’intimité, le chaos des perceptions à la violence de l’histoire et du monde."

 

 

 

NAPPES-MONDES,

Pour une géopoétique de la relation

 

 

Une nappe de bistrot en papier...

Avec ce fragile carré de papier, peu précieux, dont elle n’a pas voulu faire son pré carré,

Joëlle Naïm a rêvé d’« inviter le monde à sa table » (Hubert Haddad).

 

 

Tirage limité,

- dont 299 ex. numérotés et signés : 30 euros

- 30 ex Tirage de tête :  épuisés

 

Vous pouvez commander ICI

(règlement Paypal ou CB)

 

 

ou renvoyer le bon de commande et votre chèque par courrier

Téléchargez le bulletin ICI

 

Une grande et belle aventure artistique et humaine, réunissant sur une dizaine d'années, quelques 120 artistes, poètes, écrivains, à travers le monde, à crééer / communiquer / échanger et donner à voir au travers d'une nappe de bistrot ce qu'il y a certainement de plus beau, de plus sincère et certainement de plus mystérieux à toute relation humaine...

... des femmes et des hommes de bonne volonté, proches ou inconnus, amis ou ennemis...

 

 

 

Le rêve ambitieux et modeste de Joëlle Naïm, entremetteuse nomade :

redessiner leurs relations à sa manière, inventer une forme de diplomatie artistique, une “géopoétique de la relation”.

ON EN PARLE DEJA !
Publié le 13 septembre 2015 par Dane Cuypers - blog Atmotsphère

« Nappes-mondes – Pour une géopolitique de la relation », c’est le titre d’un livre sur le point de naître aux éditions Artefiz. Non, ce n’est pas un concept de plus qui tenterait de « faire-du-lien »… C’est l’idée géniale, généreuse, joyeuse d’une artiste atypique, Joëlle Naïm. Longtemps je l’ai croisée dans les petites rues du 19ème arrondissement, aux terrasses des cafés, penchée sur son ordinateur et, souvent, en pleine discussion avec un interlocuteur. Accoudés à une table de bistrot parisien, ils avaient créé, pour un moment éternel et éphémère, un monde à eux seuls – on le sentait rien qu’en passant.
Pour Joëlle Naïm, qui a gardé en elle toutes les couleurs de sa Tunisie natale quittée à neuf ans, la rencontre est l’une des grandes affaires de la vie. Peindre, jouer avec la laine (son matériau de prédilection), écrire ou faire un film, autant de voyages vers l’autre, dit-elle de sa voix douce, joliment cassée. Ce livre d’artiste en est une merveilleuse illustration : Au café donc, où elle travaille et rencontre beaucoup de gens, lui est venue il y a quelques années l’idée de faire de la nappe en papier le support d’une création commune. La nappe ou comment célébrer la rencontre, cette aventure intérieure par excellence, en offrant un lieu peu précieux et ludique, à deux, trois personnes différentes et proches, d’ici et d’ailleurs. « La nappe de bistro, ce fragile carré de papier est devenu le support de mon côté entremetteuse nomade, de mon fantasme d’ubiquité, de mes rêves d’échanges, de paix et de création », écrit-elle. Et elle poursuit : dans un bistro parisien, l’artiste algérien peut rencontrer la poétesse de Tel Aviv, l’écrivain né à Cuba présenter son ile à la peintre née en Tunisie, le Palestinien de St Jean d’Acre raconter ses souvenirs douloureux à l’italienne juive qui connaît très bien Ramallah, Gaza …
De façon réelle ou fictive (par courrier) une centaine de personnes, artistes, poètes écrivains, dont beaucoup de la Méditerranée et du Moyen-Orient, ont ainsi vécu des échanges poétiques, artistiques et humains. Résultat : ...  un livre « dont la réussite n’est pas seulement esthétique » se réjouit Bernard Noël qui le préface.
« Au temps de la vitesse, des nouvelles technologies, du concept et de la consommation, je résiste – et pas seulement joyeusement Je résiste avec ma lenteur, mon pinceau, mes larmes », écrit encore Joëlle. On la conjure de continuer…

Nappes-mondes :

une soirée dédiée, à la

Maison de la Poésie de Paris

achat

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